Contact
Contactez-nous ▼ 02 52 36 06 06
Contact

Besoin d'aide ?
Un expert va vous rappeler !

C'est gratuit et vous serez recontactés rapidement !

Contact

Nous contacter ?

Du lundi au vendredi : 9h à 19h

Le samedi : 9h à 18h

02 52 36 06 06 (Appel non surtaxé)

Formulaire

Une méthode simple pour améliorer l’efficacité de votre atelier

Management concession
Succession de pile de pièces de monnaie sur un ordinateur portable

"Dans le secteur automobile comme ailleurs, les divers systèmes de récompense/motivation des vendeurs sont relativement faciles à mettre en place : ils sont principalement indexés sur des objectifs et performances quantifiables incontestables (nombre de ventes VN ou VO, chiffre d’affaires, marge brute réalisée…). L’évaluation de la productivité est plus difficile à chiffrer mais permet d'améliorer l'efficacité de l'atelier. Des dispositifs de bonification efficaces, justes et transparents sont cependant possibles, d’autant plus quand ils impliquent directement vos salariés par un contrat d’engagement personnalisé."

La prime au gain de productivité sur barème : simple, efficace, mais trop rigide

Ce système de gratification est le plus fréquemment adopté : pour, par exemple, un barème de deux heures facturées au client pour tel type de réparation, si le travail est effectué en une heure et demie, l’ouvrier bénéficie sur sa fiche de paye d’une prime proportionnelle au temps économisé.

Ses avantages :

 

  • sa simplicité de mise en place et de gestion ;
  • sa lisibilité pour le personnel ;
  • il encourage et récompense l’efficacité.

Ses inconvénients :

 

  • les tâches simples et sans mauvaise surprise (entretien et révision de véhicules récents) génèrent systématiquement des gratifications qui ne correspondent pas à un réel effort de productivité ;
  • les réparations compliquées, dont le temps de travail excède le barème, n’entraînent aucune bonification, même si l’ouvrier fait son maximum ;
  • les travaux réalisés hors barème de facturation (examens pré et post-réparation) sont exclus du dispositif.

Une souplesse plus grande et plus pertinente est donc à rechercher.

L'exemple anglo-saxon : des bonnes pratiques à adapter

Le dispositif développé ci-dessous, s’il n’est pas transposable intégralement en France pour des raisons de conformité avec la législation, peut cependant être adapté et offre des pistes à exploiter, en fonction de la taille de votre entreprise et donc de sa situation vis-à-vis du droit du travail (gestion des heures supplémentaires, des RTT, etc.).

 

Le principe repose sur le libre choix et l’engagement (révisable en permanence) de chaque membre de votre personnel atelier, pour une période déterminée (un mois, un trimestre…) :

 

  • l’ouvrier opte pour un nombre d’heures (y compris supplémentaires) sur la période, pour lesquelles il concentrera son effort de productivité ;
  • pour chaque type de travaux, le niveau d’efficacité à atteindre sur ces heures sera défini (pourcentage de temps économisé par rapport au barème de facturation) ;
  • sur la fiche de paye, chaque heure sera impactée par une prime variable selon le degré (non atteint, atteint ou dépassé) de productivité effective par rapport aux objectifs fixés.

Culturellement, et en particulier en France, le personnel atelier est en principe moins ouvert que les commerciaux aux dispositifs de variabilité de la rémunération en fonction des performances. Cette variabilité est de plus compliquée à imposer si elle repose sur des règles trop rigides et en partie déconnectées de la réalité du travail au quotidien.

 

Impliquer votre personnel par un système de gratification reposant sur l’engagement individuel, librement choisi par chacun, débloquera les mentalités et augmentera notablement la rentabilité et la dynamique de votre service atelier.

 

 

Comment organiser une vente VIP en 5 étapes ?